Le Barbon

Jean Guez de Balzac, Paris, 1648 (Google Books)

This work, which Lister read in June 1665, is a satire on pedants, which Balzac dedicated to Ménage.  Specifically, he wrote a wickedly funny parody of Pierre de Montmaur (1576-1648), ‘professeur royal de éloquence grecque et parasite célebre’ of the seventeenth century 1

Montmaur had a large ‘barbe’ or grey beard, and the title ‘barbon’ or ‘bore’ was a physiognomic pun.  For the first edition, the illustrator Chaveau took the point further, portraying ‘the greybeard’ with a luxuriant beard which spread out obligingly over his robe. Balzac wrote,

Sa barbe est si large, si espaisse et d’une longueur si démesurée que si on y avoit mis le feu cela s’appelleroit un embrasement; et celui qui auroit fait le coup, se pourroit nommer un incendiaire. C’est la chère et bien aimée partie de son corps. Il se feroit plustost couper une jambe, et aimeroit mieux estre estropié, que de souffrir qu’on en rognast seulement les exlremitez. S’il manquoit de cette piece il ne croiroit pas estre un homme achevé. 2

 

  1. Charles Drochet, ‘Les originaux du ‘Barbon’ de J.-L. Guez de Balzac’, Revue d’Histoire littéraire de la France, 15, 1 (1908), 20-64, on 20.
  2. Le Barbon (Paris, 1648), 43.

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